Les bibliothèques universitaires forcées de couper dans l’achat de livres

Version plus longue présentée à l’émission L’heure du Monde

 

« Dans la plupart des cas, [les grands éditeurs] ont des marges de profits qui se situent entre 30 et 40 % – pour un matériel, il faut le rappeler, qui est fourni gratuitement par les chercheurs scientifiques. »

 

 

« Tout le système de promotion académique est basé sur des revues savantes. Donc, si vous décidez en tant que jeune chercheur d’arrêter de publier chez des revues de grands éditeurs, à certains égards, c’est un peu comme un suicide professionnel. »— Vincent Larivière, professeur adjoint à l’Université de Montréal

 

 

Ce contenu a été mis à jour le 25 octobre 2015 à 16 h 38 min.